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peu de stress, mais des incertitudes pour l'avenir

Par Thomas Poupeau et Lisa Davet Réviser ou ne pas réviser ? Telle est la question pour les 750 000 candidats au baccalauréat. Dans moins d’un mois, le 17 juin, les terminales plancheront sur l’épreuve de philosophie, ceux de première, sur les écrits de français. Puis, du 21 juin au 2 juillet, place aux oraux de français et au grand oral, la principale nouveauté du diplôme, qui n’avait pu se tenir l’an passé pour cause d’épidémie. Mais avec quelle motivation ? Et surtout, quel enjeu ?Si les examens ont été maintenus, ils ont aussi été

largement remaniés pour faciliter la tâche des candidats

et ainsi tenir compte « des circonstances particulières » de préparation de l’épreuve, reconnaissait Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Éducation nationale dans un courrier aux personnels envoyé le 5 mai pour détailler les aménagements.